Le télétravail est une organisation pour
travailler. Il consiste (le verbe consister) à travailler à son domicile ou
dans un co-working. Un co-working est un café, très souvent, où les gens
travaillent avec leur ordinateur. Les cafés co-working sont calmes, organisés,
propres. Le télétravail est maintenant possible avec Internet. Dans une
première partie, nous étudierons les avantages, dans une deuxième partie, les
inconvénients et dans une troisième partie, ce qu’il faudrait faire.
Première
partie
D’abord,
le télétravail est facile à organiser. En effet, il suffit d’un ordinateur et
d’un réseau wifi. Ensuite, travailler à la maison ou dans un co-working permet
d’éviter les embouteillages, les temps longs de transport en métro, en bus, en
tramway, en taxi, en moto, les frais de transport. Nous n’avons pas besoin
d’acheter une voiture, de la faire réparer, de louer un garage. On gagne du
temps et on économise de l’argent. Nous n’avons pas besoin de nous lever tôt.
Ainsi, on préserve notre santé. De plus, travailler à la maison ou dans un
co-working est flexible. C’est à nous de nous organiser. En outre, une maman
peut mieux s’occuper des enfants. Par exemple, elle peut prendre le temps
d’emmener et de prendre les enfants à l’école. Elle peut préparer les repas,
essayer d’entretenir la maison. Cependant, travailler à la maison exige
énormément de discipline et d’organisation. En outre, le télétravail permet de
travailler, malgré les intempéries (les intempéries sont la neige, la forte
pluie, le verglas etc…). En effet, les intempéries bloquent fréquemment la
circulation automobile, ferroviaire (ferroviaire est l’adjectif du nom le
train), aérienne (aérienne est l’adjectif du nom « l’avion » ou
« l’air).
Deuxième
partie
Par
contre, le télétravail a quelques inconvénients. Il ne faut pas mélanger la vie
familiale et la vie professionnelle. Or, travailler à la maison peut apporter
une certaine confusion (une confusion : on ne sait pas quand on travaille,
et quand on est « vraiment » avec la famille, faire une confusion,
c’est se tromper, faire une erreur). De surcroît, être rivé (être tout le temps
à travailler sur l’écran de l’ordinateur) en permanence sur son ordinateur, sur
les réseaux sociaux, sur son téléphone portable, créé une addiction. La santé peut
s’altérer (s’altérer : s’abimer, se détériorer). En outre, fréquenter ses
collègues, rire, échanger, communiquer, sont des choses importantes. Le
télétravail peut provoquer (provoquer, le nom est la provocation – provoquer
signifie faire) un isolement social. L’isolement social crée des problèmes
psychologiques. De plus, la sédentarité, (la sédentarité : on ne marche
pas, on ne fait pas de sport, on ne sort pas) entraîne (entraîner : créer,
susciter, générer, faire) l’obésité et des maladies cardio-vasculaires. De
surcroît, certaines personnes comme les personnes âgées ne savent pas bien
travailler avec un ordinateur. Il ne faut pas imposer cette méthode de travail
mais la proposer. Celles et ceux qui n’aiment pas le télétravail doivent être
libres de la refuser. Par ailleurs, travailler à la maison exige d’avoir une
pièce, un bureau, une partie de l’appartement, de la maison, réservés au
travail. Ainsi, on peut se concentrer, réfléchir, écrire, téléphoner. Les
enfants savent aussi que lorsque vous êtes dans votre bureau, vous travaillez.
Troisième
partie
Alors
quelle est la meilleure solution ? Le télétravail ou travailler dans un
bureau où le stress et le burn-out (l’épuisement professionnel) sont des
menaces ? En réalité, travailler, par exemple, trois jours, au bureau,
avec ses collègues, et deux jours, ou le contraire, à la maison, semble être
une bonne solution. En fait, il faut trouver un équilibre. Toutefois, tout
dépend du métier que l’on a. Certains métiers, tels avocat, médecin,
chirurgien, infirmière, policier, professeur, ne sont pas compatibles (la
compatibilité : pouvoir faire quelque chose, organiser quelque chose,
rendre possible quelque chose) avec le télétravail.
En
conclusion, il faut choisir une organisation qui permet de préserver sa santé
et son efficacité professionnelle. Cependant, tout dépend de l’employeur (le
patron). Certains patrons souhaitent développer le télétravail car ils n’ont
pas besoin d’acheter ou de louer des bureaux. C’est donc exclusivement
(seulement) une stratégie budgétaire (budgétaire est l’adjectif du nom le
budget). D’autres patrons savent que souvent, le salarié (celle ou celui qui
travaille pour le patron) est plus efficace avec le télétravail qu’au bureau.
Néanmoins, il ne faut pas que le patron profite de cette forme de travail pour
augmenter la charge de travail. Bref, les nouvelles technologies permettent de
faire des progrès dans l’organisation professionnelle. Mais attention à
l’esclavage et de ne pas détruire l’équilibre de la famille. Enfin, n’oublions
pas que la vraie communication, parler, échanger, prendre un café, reste
prioritaire. Une connexion permanente (permanente est l’adjectif du nom la
permanence) est nocive (nocive est l’adjectif du nom la nocivité qui signifie
« être dangereux pour la santé »). Il ne faut pas faire des excès !
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