vendredi 1 février 2019
L’amour suffit-il pour atteindre le bonheur ?
La mariage peut-il rester une affaire familiale et sociale ou doit-il être, plutôt, une affaire privée ?
Thème : Histoires d’amour
Mots-clés : Les mots « autrefois », « père », « décidaient » réfèrent à une époque patriarcale et à une société traditionnelle où le père avait une autorité absolue sur la famille et les enfants, où le mariage s’inscrivait dans le cadre d’un pacte d’échange social et économique visant la conservation d’un ordre établi qu’on voulait immuable et où l’amour n’avait pas de place, était frappé d’interdit.
Problématique :
La mariage peut-il rester une affaire familiale et sociale ou doit-il être, plutôt, une affaire privée ?
1. Expliquer le statut du mariage dans les sociétés traditionnelles.
2. Montrer qu’aujourd’hui, c’est aux enfants de choisir eux-mêmes les partenaires de leur vie aussi bien pour des raisons objectives que subjectives.
La technologie s’est mise au service des relations amoureuses
Aujourd’hui, les déclarations amoureuses virtuelles fleurissent ! Et pour attirer les internautes, les communautés virtuelles et sites de rencontres multiplient les initiatives et les nouvelles façons de se rencontrer sur Internet. Grâce aux pages « Spotted » (repéré) sur Facebook par exemple, il est désormais possible de retrouver une personne inconnue que l’on aurait croisée dans la rue sans oser l’aborder. Et grâce à une nouvelle appli américaine, il est maintenant possible d’organiser des rencontres amoureuses sur son téléphone mobile également ! Il suffit de définir une heure de rendez-vous et un lieu, pour se voir proposer des rencontres à l’aveugle.
Quelle est donc la particularité de ce moyen de rencontre qu’est Internet ? Dans le monde virtuel, les règles de jeu sont différentes. Que ce soit dans une communauté virtuelle comme Habbo, sur Facebook, sur des forums ou sur des sites de rencontres, les codes changent : on se présente différemment et les rencontres se font souvent selon d’autres critères. Internet nous donne en effet la possibilité de jouer avec notre image et de trier l’information que l’on a envie de partager avec les autres, sans y être physiquement présent. Cette particularité, à priori évidente, nous oblige en effet à communiquer autrement. Les centres d’intérêt prennent plus d’importance que l’apparence physique. Le pseudo, voire l’avatar, remplace les accessoires, le style vestimentaire ou encore notre coupe des cheveux… Dès que l’on se retrouve dans le monde virtuel, les préjugés classiques ont tendance à s’envoler et l’absence du corps physique nous permet parfois de nous exprimer plus facilement, plus librement. La timidité, si pénible à vivre dans le monde réel, s’estompe – ce qui facilite souvent la prise de parole. Or, si ce moyen de rencontre peut paraître tentant, il ne faut pas oublier qu’il peut y avoir des risques liés à Internet et à ce mode de communication parfois si contraignant.
Qui se cache réellement derrière l’écran ?
Le monde virtuel offre la possibilité de choisir ce que l’on souhaite partager avec les autres. Nous pouvons omettre des informations qui nous concernent, voire les modifier. Nous pouvons ainsi tester différentes facettes de notre personnalité et nous présenter tels que nous voudrions être, et pas toujours tels que l’on est vraiment. Or, si nous pouvons modifier les informations qui nous concernent à notre guise, c’est que les autres peuvent le faire également. On ne connait donc pas toujours l’identité réelle de celui qui se cache derrière l’écran, ni le degré de vérité des informations renseignées sur son profil. Cela vaut bien sûr aussi pour les photos, des clips, etc. Tant que l’on n’a pas rencontré la personne IRL, il est donc primordial de ne jamais se soumettre à des demandes insolites : se filmer, se dénuder, etc. Certaines personnes qui acceptent de se dévêtir dans un jeu sexuel par webcam interposées par exemple, peuvent se retrouve ensuite mêlées à des histoires de chantage qui peuvent être très difficiles à gérer.
Les sociétés modernes ont réussi à abolir définitivement l'esclavage (Liberté, j'écris ton nom)
- favorisé l'apparition d'une nouvelle forme d'esclavage en considérant l'homme comme une force de travail;
Les adolescents et leurs parents
Les adolescents et leurs parents :
L’adolescence est une étape transitoire qui se
situe entre l’enfance et l’âge adulte. Voulant divorcer avec le stade de
l’enfant, l’adolescent tente d’accéder à celui de l’adulte, et cela ne se fait
pas sans heurts vis-à-vis de son entourage.
L’adolescent se sent tiraillé (tourmenté,
inquiet) entre deux besoins tout à fait opposés : à savoir le besoin de sécurité
et le besoin d’autonomie. Cette situation déclenche une série de crises,
notamment s’il a des parents exigeants. Lui, il pense qu’il est déjà adulte,
remarquant certaines transformations physiologiques et psychologiques, croyant
que cela est largement suffisant pour acquérir sa liberté. Les parents voient
en lui un enfant qui n’a pas encore acquis sa maturité lui permettant d’être un
individu capable de gérer sa vie en toute sécurité ; et que la vie n’est aussi
simple qu’il croit.
A partir de là, il commence à prendre une
position hostile à l’égard des adultes en la personne des parents. Alors, il se
révolte.
Si cette crise est moins grave, elle peut être
passagère, et l’adolescent va rapidement retrouver sa sagesse .mais dans le cas
contraire, elle pourrait avoir des résultats regrettables : l’adolescent
pourrait s’adonner à la cigarette, à la drogue, à la criminalité.
L’adolescent doit avoir sa liberté mais relative
pour se préparer progressivement à avoir sa liberté totale mais avec le
concours de ses parents qui eux aussi doivent être conscients de l’étape
complexe et difficile que traverse leur fils ou fille.
Nombreux sont les adolescents qui ont gâché leur
vie à cause de cette liberté totale dont ils ne savent pas se servir.
L’autorité des parents :
Dans beaucoup de familles, le rapport entre les
parents et leurs enfants est basé sur l'autorité. Certaines personnes
soutiennent cette autorité; d'autres au contraire la dénoncent.
Pour l'autorité parentale:
- Les parents protègent leurs enfants contre les
dangers qui les menacent (drogue, tabagisme, prostitution...).
- Les enfants, jeunes et moins jeunes, sont
immatures: ils ont donc besoin de la tutelle (surveillance) de leurs parents.
- La liberté et l'autonomie conduisent dans
plusieurs cas à la délinquance.
Contre l'autorité parentale:
- L'autorité parentale produit des enfants
timides et lâches.
- L'autorité excessive conduit les enfants à la
délinquance, à la fugue (la fuite, l’évasion).
- Lorsque les parents sont autoritaires, il n'y
a pas de communication entre eux et leurs enfants. En conséquence, ces derniers
se cantonnent (s’installent, restent) dans le silence: ils ne parlent pas de
leurs problèmes, de leurs souffrances.
Je suis contre l'autorité excessive: les parents
recourent systématiquement à la violence et au châtiment corporel qui provoque
chez les enfants des traumatismes (إصابات) psychologiques graves.
L'autorité est nécessaire, mais elle ne doit pas
devenir un prétexte à la violence physique. Les parents doivent faire preuve de
fermeté (sévérité, solidité), tout en restant compréhensifs et humains.
La ville apporte-t-elle la liberté ? (Liberté, j'écris ton nom)
Transition :
- La ville peut donc également contribuer à m'aliéner, puisque je deviens précisément dépendant du confort, de tous les possibles qu'elle m'offre. Le critère de départ : la liberté comme possibilité d'action, ne me détourne-t-il pas de ce qu'est la véritable liberté ?
La liberté peut-elle m'être apportée ?
- Si on ne définit pas la liberté comme le fait de pouvoir faire quelque chose, mais comme le fait de pouvoir choisir librement ce que l'on veut, ce que l'on est, c'est-à-dire comme liberté de faire des choix qui nous déterminent, la ville et son confort peuvent même être un obstacle à cette liberté. Pour Sartre, l'essence de l'homme se confond avec la liberté. L'existence humaine est sans justification et il appartient à l'homme et à l'homme seul de donner un sens à sa vie.
La société est-elle un obstacle à l’épanouissement de l’individu ? (Liberté, j'écris ton nom)
La société est-elle un obstacle à l’épanouissement de l’individu ?
Introduction
I – La société est nécessaire au bonheur de l’individu
II – La société est un obstacle au bonheur de l’individu
III – Les obstacles de la vie en société permettent à l’individu de s’épanouir
Conclusion
Le travail est-il pour l'homme un obstacle à la liberté ? (Liberté, j'écris ton nom)
Introduction
Encore faudrait-il cependant que la liberté fût bien ce que nous avons jusqu'ici présupposé qu'elle était : pouvoir faire ce qu'on désire, c'est-à-dire finalement ce qui nous plaît, sans obstacles ni limites. Telle est sans doute bien l'entente la plus ordinaire de la liberté ; mais pour commune qu'elle soit, elle demeure fortement contestable : sans doute, travailler est une nécessité sociale (et même, on pourra le montrer, une nécessité vitale) ; sans doute aussi, je ne décide pas des techniques à mettre en œuvre quand je travaille ; mais est-ce que je décide davantage de mes besoins et de mes désirs en général ? Est-il en mon pouvoir de désirer ceci plutôt que cela ? À dire vrai, il s'agit là d'impulsions qui toujours s'imposent et tendent tyranniquement à faire la loi en nous. Mais alors, leur laisser libre cours, loin d'être la marque d'une libre conduite, serait bien plutôt le signe d'une servitude d'autant plus puissante qu'elle n'est pas reconnue comme telle par celui qui la subit. Il faudrait alors soutenir que c'est bien plutôt dans la résistance de la volonté à l'égard des désirs que la liberté se manifeste vraiment. Le rapport que le travail entretient avec la liberté doit alors nous apparaître sous un jour nouveau : peut-être est-ce précisément parce que le travail est une discipline et un effort de soi sur soi que, loin de faire obstacle à la liberté humaine, il pourrait bien en être au contraire sinon l'accomplissement plénier, du moins le nécessaire chemin. C'est du moins ce qu'il conviendra d'examiner.
I. Le travail comme nécessité
Davantage même : tout travail, en tant qu'activité fabricatrice, suppose une technique dont je ne décide pas et à laquelle je dois me soumettre nécessairement. Alors, non seulement je travaille par nécessité, mais encore, la façon même dont je produis ce que je veux produire n'est pas remise à mon libre choix. Et comme il est bien évident que je ne saurai jamais maîtriser à moi seul toutes les techniques nécessaires à la production des objets dont j'ai besoin, le travail va se diviser et se spécialiser : telle est du moins l'hypothèse envisagée par Platon au deuxième livre de la République. L'homme va cultiver des champs, mais il faut à l'agriculteur des outils, dont la production réclame elle aussi certains savoir-faire particuliers : aussi faudra-t-il des forgerons, des menuisiers, etc. Ce qu'il faut ici remarquer, c'est que le travail génère alors de nouveaux besoins, qui pour être satisfaits réclameront à leur tour un travail spécifique. Ainsi, des besoins de plus en plus divers expliquent-ils une diversité de métiers elle-même toujours accrue : se dessine alors une communauté d'échanges où chacun participe, à son ordre et mesure, à la satisfaction des besoins de tous. Le travail devient alors le fondement du seul véritable lien social, le commerce et les échanges : la satisfaction de mes besoins dépend d'autrui, mais la satisfaction des siens dépend de moi. Or chacun dépendant ainsi de tous les autres, aucun n'est plus le maître de personne. Si donc nous travaillons par nécessité, cette nécessité permet d'une certaine manière à chacun de se libérer des autres : entre les hommes, les relations qui ont cours ne sont plus de subordination, mais de coopération, au point que les individus peuvent désormais à bon droit se définir par leur fonction, c'est-à-dire par leur emploi (le boulanger ou l'instituteur).
Selon la thèse d'Adam Smith, le travail est donc une nécessité à la fois naturelle et sociale : ne pas ou ne plus travailler, c'est tout à la fois être menacé dans sa survie et dans son statut de membre de la communauté humaine ; c'est risquer de perdre tout à la fois sa vie et sa liberté, puisque cela revient à remettre la satisfaction de ses besoins vitaux aux bons vouloirs d'autrui. Sans doute faut-il accorder ce point à la position utilitariste : que le travail soit une nécessité, cela ne signifie pas pour autant qu'il constitue un obstacle pour ma liberté ; bien au contraire : il est peut-être le seul moyen humain d'accéder à la liberté. C'est cependant le concept de liberté engagé ici qui fait question : car enfin, autre chose est de dire que la multiplication des désirs accroît la dépendance de chacun envers tous les autres, autre chose est d'affirmer qu'il s'agit là d'une libération. Certes, le fait qu'autrui ait besoin de moi autant que j'ai besoin de lui, cela m'affranchit de sa tutelle ; mais il n'est pas de maître plus tyrannique que le désir lui-même : si ma liberté se résume à la recherche sans limites de la satisfaction de désirs eux-mêmes illimités, que m'importe alors d'être libéré de l'emprise d'autrui ? Que m'importe en effet si c'est pour devenir l'esclave de moi-même ? Le reproche est finalement platonicien : d'une part, il n'est pas certain que la vie en commun se résume à faciliter les échanges et la coopération économique ; d'autre part et surtout, il est tout aussi incertain que la satisfaction des désirs soit en elle-même une libération. Peut-être la liberté dont le travail est la promesse est-elle plus et autre : si le travail me permet d'échapper à la domination d'autrui tout en me rendant dépendant de mes semblables eux aussi au travail, il faudrait sans doute prendre au sérieux la maîtrise qu'il me permet d'acquérir aussi bien sur la nature que sur moi-même.
II. Le travail comme libération
Conclusion
Guerre et Média
Les discordes virulentes entre les hommes ont dégénéré en conflits sanglants
Rédigez un texte argumentatif illustré d'exemples précis tirés de vos lectures et de la réalité quotidienne
Nombreux sont ceux qui adoptent une vision très pessimiste sur l'avenir de l'humanité à cause « des discordes virulentes entre les hommes (qui) ont, de tout temps, dégénéré en conflits sanglants et des guerres désastreuses ». Hélas ! Tout ce qui s'est passé et ce qui se passe encore, un peu partout dans les quatre coins du monde, à cause de ces « cassures » irréparables dans les relations humaines ne peut que donner raison à ces gens noyés dans un profond océan de désespoir amer.
En effet, il semble que, depuis la nuit des temps, la contagion des « discordes virulentes » entre les humains a été si grande et si rapide que la première étincelle a fait un grand embrasement en gagnant, à une vitesse de croisière, toutes les maison, tous les pays et tous les continents mettant ainsi l'univers tout entier en grand danger. D'ailleurs, il y a eu toujours de nouvelles guerres atroces qui ont ravagé les villes et décimé les innocents : Guerre de cent ans, Guerre de Trois Jours, guerre de Ceylan. Première Guerre Mondiale ; puis une deuxième, plus cruelle. Guerre « éclair », Tempête du désert. Des conflits sanglants ont déstabilisé les nations : Guerre civile en Algérie, en Irak et au Soudan,...Par conséquent, des milliers de personnes ont été massacrées à Hiroshima, en Palestine et au Rwanda...Mais qui saura, ma foi, arrêter le chiffre exact des dégâts matériels et humains ? Des milliers d'handicapés et de blessés au Vietnam, au Liban et au Zimbabwe... Des milliards de dollars, d'euros ou de dinars, chacun sa devise- ont été dilapidés pour envenimer les désaccords et semer la mort! Puis, -quelle folie- le double ou le triple est gaspillé pour reconstruire et restaurer!
Pire encore, en échouant continuellement à désarmer les rancunes féroces des mortels, le spectre d'une troisième guerre planétaire n'arrête point d'hanter les esprits! Pourtant, quelle absurdité ! Le monde entier continue à chanter la même litanie : « vengeance, vengeance, vengeance », sans répit !
Pourquoi donc tant de cruautés et de barbaries ? Pourquoi autant d'animosités et de boucheries ? L'homme est-il devenu à ce point affamé de guerre et de sang ? L'homme doit-il demeurer ainsi l'éternel ennemi de son semblable ?
Quand commencera-t-on à apprendre à nos enfants « le vol des insectes, les couleurs du ciel et les douceurs de l'eau » ? Qui leur composera une chanson d'amour et de paix ? Car, de nos jours plus que jamais, la responsabilité de la guerre « a cessé d'être l'affaire exclusive des mâles et des mâles adultes », comme l'a bien expliqué Maurice DURON dans son œuvre Lettres d'un Européen. Dorénavant, elle ne fera plus de distinction entre les sexes et les âges. En fait, elle concerne aussi bien les hommes que les femmes, aussi bien les pères que les mères qui ne doivent plus tarder à apprendre à leurs progénitures les valeurs de l'altruisme, de la tolérance et du respect mutuel, seuls garants de vivre dans
Hâtons-nous donc de nous engager dans cette voix si l'on veut vraiment freiner cette exécrable métamorphose de l'homme en redoutable « loup pour l'homme » et éviter de sombrer dans une « nuit apocalyptique que n'abolirait aucun jour »?
La guerre est-elle toujours immorale?
La solidarité peut aider les hommes à mieux supporter la guerre.
Les efforts fournis par les organisations humanitaires
Les nouvelles générations seraient-elles devenues si indolentes ?
Les guerres sont-elles utiles ?
le travail est encore une source de souffrance physique et morale? (Homme et Science)
La vitesse n’apporte-t-elle aux hommes que des motifs d’inquiétude ? (Homme et Science)
-
RECAPITULATION SOUVENIRS ET NOSTALGIE - Les êtres humains sont faits de souvenirs qui les déterminent et les construisent, qui retrace...
-
*source de bonheur : quand la personne se souvient d'un passé révolu marqué par des moments qu'on ne peut plus restituer exp :enf...
-
L’essai sera noté en fonction du barème suivant : - Compréhension du sujet et cohérence du développement (4 points) - Correction l...