dimanche 19 décembre 2021

 

Pensez-vous qu'il faille recourir à la violence pour conquérir la liberté?

Répondez à la question en rédigeant un texte argumentatif et en vous appuyant sur des exemples précis.

 

 

 

 

     L'homme est l'être de la liberté. Celle-ci  est innée en  lui  .Et depuis l'âge des pierres, l'être humain n'a pas cessé  de combattre et de lutter afin de conquérir sa liberté. 

    A ce propos, certains sont portés à croire que la liberté de l'homme ou bien d'un peuple ne se reprend que par force et par violence. D’autres, à l’opposé, s'accordant à dire que le mieux est de reprendre notre liberté outrée pacifiquement.

    Alors, à quelles limites ces pareils dires sont-ils reconnaissables ?

    Le recours à la force est-t-il toujours légitime et  justifié ?

 

 

    A priori, il me semble indéniable que dans certains cas, la violence peut permettre de conquérir la liberté.

    En effet  , il se peut que l'être humain se trouve dans des conditions difficiles d'injustice et d'hégémonie qui l'obligent, bon gré mal gré , à utiliser la force dans le but de défendre son peuple et de combattre ceux qui viennent violer sa terre et violeter son peuple .Il serait alors un traitre s'il demeure les bras croisés devant l'ennemi qui , remplit de haine et d'avidité ,est entrain de massacrer ses concitoyens et de semer la terreur dans leurs pauvres cœurs ." Ce qui a été pris par force ne pourrait être récupérer que par force ", c'est ce que affirme Jamal Abdennaser .Echèbbi, lui aussi, confirme cette idée :pour établir la justice ,il faut combattre l'ennemi par sa même arme en disant " il n'aura jamais de justice que lorsque les forces seront égales " .Bref , la violence et la manière forte permettent aux peuples de contraindre l'oppresseur , à lâcher prise et à s’incliner leurs vœux libertaires .

 

   Néanmoins, on ne peut point nier que ce choix n'est pas toujours béni et pardonnable vue les dégâts qui l’accompagnent. Une pareille orientation, un pareil comportement  ne sont pas toujours efficaces et capables de réaliser la victoire et atteindre notre but celui de reprendre notre liberté perdue.

 

    De prime abord, le recours à la violence est un acte bestial. En se perpétuant, il peut se retourner contre les objectifs libertinaires. La violence se transforme alors en un danger qui risque de mettre terme au désir de substituer l'asservissement par l'émancipation .Il est pleinement possible à un peuple de prôner sa terre et gagner son indépendance sans avoir recours à la violence et à l'agression de l'autre .Citons à ce propos l'exemple de Mahatma Ghandi qui appelle à la paix et à la guerre pacifiste et qui a pu libérer son pays de la colonisation sans aucune goûte de sang . Le principe de " les fins justifient  les moyens " qui  marque l'attitude de plusieurs groupes aspirant à revendiquer leurs libertés arrachées et défendre leur dignité outrée  n'est pas toujours raisonnable .On est, donc, devant la raison de la force et non pas la force de la raison.

 

     Par ailleurs, la violence barre les chemins à d'autres moyens plus humains. Elle ne donne pas l'occasion à des démarches plus pédagogiques et plus éducatives d'ancrer ce principe fondamental capable de rendre la vie de l'Homme meilleure. Innombrables sont les moyens pacifistes et légitimes qui ont réussi à arracher les libertés volées. En témoignent les tunisiens  qui, autrefois,  ont revendiqué leur droit à syndiquer et qui ont établit l'Union Générale Tunisienne des Travailleurs .Ils ont pu résister le colonisateur et ont recouru à la force de l'esprit pour se défendre et s’exprimer. D'où leur réussite à vaincre la guerre et délivrer le peuple tunisien .Il en résulte donc que la presse, l’art, la poésie fait partie de la résistance et de la guerre libertaire .Ils pourraient être des armes bien puissantes.

 

   Enfin, on peut toutefois, opter pour le dialogue qui a l'avantage de remettre en ordre les choses et qui appelle à la concorde et à la fraternité humaine .Ainsi, on s'écarte de l'anarchie et de la violence qui font entrer le pays dans la confusion et des troubles sans fin. L'écoute de l'autre et l'acceptation des négociations vont évidemment aider à reprendre la liberté sans perte aucune. L'exemple qui en atteste est celui du défunt  Yaser Arafet qui optait pour le dialogue avec les sionistes après être conscient de leur pouvoir et leur force qui dépassent les siens.

 

 

 

  Il résulte de tout ce qui a précédé que le recours à la force semble parfois être le chemin de salut et le garant des libertés. Mais ceci ne doit pas nous faire nier que ce choix présente des limites et qu'il existe d'autres moyens plus efficaces et légitimes qui  conduisent à la liberté sans mener des guerres ni couler du sang.

 

 


Sujet : Certains parents refusent d’accorder une grande liberté à leurs enfants. Partages-tu cette position?
Justifie ton point de vue, dans un texte bien construit, à l’aide d’arguments pertinents.

 

INTRODUCTION
(Amener au sujet) : De nos jours, plusieurs conflits surviennent dans la relation des parents avec leurs enfants.
(Poser le problème) : L’une des causes importantes de ces heurts est l’aspiration des jeunes à une grande liberté : ils veulent se libérer de toutes les contraintes imposés par les adultes. Or, les parents s’y opposent catégoriquement. Faut-il donc accorder aux enfants une grande liberté, ou au contraire la restreinte.
(Annoncer le plan) : Concernant cette problématique, les opinions divergentes

DÉVELOPPEMENT
Première partie : ne pas accorder une grande liberté aux jeunes.
- Les jeunes ne sont pas assez mûrs.
- Les dangers qui menacent les jeunes sont de plus en plus nombreux.
- Une grande liberté peut conduire le jeune à s’adonner à la drogue, au tabagisme, à la prostitution…
- La jeunesse et l’adolescence sont des périodes de la vie où la personnalité de l’individu est en train de se former ; elle n’est pas encore constituée.
- La liberté débridée conduirait à la négligence des devoirs scolaires, familiaux, sociaux…
- La liberté incontrôlée est contraire aux principes religieux, moraux, sociaux : chaque société pose des limites d’ordre moral, religieux et social à la liberté de l’individu.
- La liberté illimitée a provoqué des ravages dans les sociétés occidentales : homosexualité, tabagisme, délinquance…
- La liberté est une notion relative : même si on accorde une plus grande liberté, l’individu aura toujours l’impression d’être opprimé.
- Une grande liberté peut entraîner l’anarchie.

Deuxième partie : accorder une grande liberté aux jeunes.
- L’homme est né libre ; c’est un droit que reconnaissent les religions, les constitutions, les différentes cultures.
- Un individu dont on limite la liberté serait semblable à un esclave.
- Un enfant constamment tenu sous l’autorité de ses parents, restera toute sa vie durant un individu avec une mentalité d’assister ; un individu dépendant des autres ; sans personnalité…
- Donner plus de liberté apprend à l’enfant à être indépendant ; à acquérir de l’autonomie ; à se forger une personnalité forte…
- Priver un enfant de liberté, ou la réduire, c’est en faire un citoyen lâche et peureux, et donc un pays sans démocratie.
- Pour construire un pays démocratique, il est impératif d’élargir la liberté des enfants.
- La liberté est une condition nécessaire de la créativité.

Troisième partie :
Point de vue personnel (à ce niveau, il faut éviter de répéter les mêmes arguments déjà cités dans la partie précédente.)
- pour ces raisons, je ne partage pas le point de vue des parents qui refusent d’accorder une grande liberté à leurs enfants. Je crois, au contraire, qu’il faut élargir cette liberté.
- Aujourd’hui, notre société souffre de beaucoup de problèmes, tel le chômage, la prostitution… à cause du manque de liberté. Pour les résoudre, il faut garantir aux gens plus de liberté.
- Les pays dans lesquels les citoyens jouissent d’une grande liberté sont développés à tous les niveaux, par contre ceux où les gens sont opprimés souffrent du sous-développement.
- Le manque de liberté peut conduire l’enfant à devenir délinquant, marginal. Les enfants des rues que nous rencontrons chaque jour dans les artères de nos villes sont la conséquence de dictature parentale.

CONCLUSION

RECAPITULER :
Les parents qui refusent d’accorder une plus grande liberté à leurs enfants ont certes leurs raisons. Cependant ces raisons ne suffisent pas pour justifier la restriction des libertés. Tout plaide, aujourd’hui, en faveur d’un élargissement des libertés des citoyens.
OUVRIR :
La liberté est certes une condition nécessaire pour l’épanouissement de l’enfant, partant l’essor économique et social de pays ; mais cette liberté doit être balisée par des garde-fous moraux, religieux et juridiques pour qu’elle ne se transforme pas en anarchie. Comme ce qui se passe actuellement dans certains pays de l’occident.

 

Qu’est-ce que la liberté?

Rares sont ceux qui n’en ont pas une opinion, mais la connaissons-nous vraiment? Est-il seulement possible d’en faire le tour? Chose certaine, il est impossible d’en concevoir la fin, car c’est justement l’une de ses principales caractéristiques, elle n’en a pas. Déjà Hegel, je crois, la présentait ainsi, bien qu’il la concevait différemment: La liberté est la raison.

La raison

La raison est la faculté de penser. Cette faculté est un pouvoir naturel, inné. Ce pouvoir est la liberté. Il s’agit bien davantage que la liberté d’exprimer sa pensée: c'est la liberté ou le pouvoir de penser. Reconnaître ce pouvoir, c’est en prendre conscience. Grâce à la liberté de penser on peut concevoir les autres libertés. Toutefois, il y a une certaine réciprocité, car la pratique des libertés développe également la conscience.
Lorsqu’on parle des libertés on renvoie à des actions: action de s’associer, de se mouvoir, de communiquer, etc. Celles-ci sont libres non seulement dans la mesure où elles ne sont pas interdites, mais surtout où on en est conscient. Choisir détermine la conscience qui détermine la liberté d’action. Autrement dit, une action qui n’est pas la conséquence d’un choix n’est pas une action libre. Il en va ainsi de toutes les libertés.
Cependant, si la capacité de choisir détermine une liberté de penser ou une conscience, il ne s’ensuit pas nécessairement une liberté d’action. Être conscient d’agir ne signifie pas nécessairement agir librement, sans contrainte. Le prisonnier n’est pas libre de ses mouvements, mais petite ou grande consolation, il maintient sa liberté de penser. Peut-être souhaite-t-il être ailleurs?
Autre exemple: Un homme soûl qui n’est plus conscient de ce qu’il fait a d’abord choisi de boire. À ce titre, l’homme doué de conscience est responsable de ses actes. La liberté bien comprise exige la non-agression afin de préserver celle des autres. En ce sens, liberté et devoir ne font qu’un.
Moins il y a d’agression, plus les libertés se déploient, mais elles se déploieront d’autant plus que la liberté de penser aura été enseignée. Les libertés se pratiquent, mais seule la liberté de penser se transmet par l'enseignement, car il s’agit d’une qualité ou caractéristique de l’homme. La liberté en général n’est donc pas une absence d’interdiction ou d’agression, ces dernières constituent seulement un frein à celle-là.

Déterminisme vs liberté

L’action qui vise un but est une action libre, tandis que le mouvement d’un météore est déterminé, car celui-ci ne choisit pas son trajet. L’homme est libre en autant qu’il est conscient. Qu’il étudie l’objet inanimé, l’action humaine ou l’être vivant en général il utilise sa raison, il exerce sa liberté de penser. Ce n’est pas parce qu’un objet agit de manière déterminée qu’on le comprend avec une raison différente. La raison procède de la même manière pour tout le monde, seul l’objet étudié est régi selon des lois différentes.
On ne peut pas opposer le pouvoir à la liberté, car celle-ci est elle-même un pouvoir. Si l'on est libre d’agir, c’est que l'on peut agir. De même, si l'on est libre de penser, c’est qu'on le peut. Cette liberté, ce pouvoir est la faculté de penser, la raison, la conscience, l’esprit. La conscience ne nous est pas fournie d’un bloc, elle se développe par expérience, réflexion et volonté.
«L’homme est libre en autant qu’il est conscient. Qu’il étudie l’objet inanimé, l’action humaine ou l’être vivant en général il utilise sa raison, il exerce sa liberté de penser.»

Droit vs liberté

Tant qu’il y a respect de la propriété la liberté reste entière. Une vie en société appelle à la contrainte, mais non à la coercition. Dès qu’il y a coercition gouvernementale, c’est-à-dire dès qu’il y a politique les libertés se réduisent aux droits. Les fruits de votre travail vous sont confisqués à hauteur déterminée par le droit. En ce sens, la portée des droits ne peut jamais être plus grande que celle des libertés.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


Que pensez vous de cette citation: ouvrez des écoles, vous fermerez des prisons!

 

Que pensez vous de cette citation: ouvrez des écoles, vous fermerez des prisons!

 

 



L'école serait-elle une solution à la délinquance ? Victor Hugo semblait le penser lorsqu'il écrivait : "Ouvrez des écoles, vous fermerez des prisons".
Poète, romancier, auteur de théâtre, critique, journaliste, et historien, Hugo était doté d'assez nombreuses qualités pour que nous puissions lui faire confiance. Grand défenseur des libertés, et sans conteste l'un des géants de la littérature française, cette phrase prend tout son sens dans la bouche de ce grand homme.

A l'époque des Misérables, l'instruction publique apparaissait en effet comme une solution à la délinquance.
Celle des enfants tout d'abord, parce que étant occupés à l'école, ils n'avaient plus le temps d'aller faire des bêtises au dehors. Mais l'école semblait aussi pouvoir lutter à plus long terme contre la délinquance des adultes, puisqu'à l'époque, un homme instruit avait beaucoup plus de chances de trouver un emploi intéressant et bien payé, qu'un individu qui n'était pas allé à l'école.
De plus, l'instruction était considérée par les grands auteurs tel que Victor Hugo, comme un moyen d'ouverture d'esprit. En ce sens, un homme instruit était donc censé trouver d'autres solutions à ses problèmes, que la violation de la loi.

Néanmoins, bien que cette affirmation prononcée au XIXème siècle semble raisonnable, il est possible de se demander si elle est encore d'actualité aujourd'hui ?
En effet, à l'époque où Victor Hugo croyait en un tel pouvoir des écoles, la délinquance n'était pas ce qu'elle est devenue aujourd'hui. Depuis lors, il est donc possible de se demander si cette phrase a survécu à l'Ordonnance de 1945, au développement des nouvelles formes de criminalité, à l'abaissement considérable de l'âge des délinquants ?
Les écoles sont elles encore capables de mettre fin à la délinquance actuelle?

Certes l'école conserve un rôle important dans la lutte contre la criminalité. Mais elle n'y suffit plus. D'autres solutions sont désormais nécessaires.
L'école semble donc aujourd'hui encore pouvoir fermer des prisons, mais elle n'y est plus suffisante.

 

Rédiger un texte argumentatif exprimant une prise de position défavorable

 

Sujet : Certains définissent la liberté comme étant la possibilité d’agir loin des contraintes et des obligations que les lois exigent.

Partagez-vous cette opinion ?

Vous développerez votre point de vue en vous appuyant sur des arguments et des exemples précis.

 

Introduction :

Idée générale

Introduire le sujet

Problématique

 

Développement :

 

Thèse rejetée

(Un argument)

 

 

 

 

Thèse défendue

 

 

Argument 1

 

 

 

 

Argument 2

 

 


Argument 3

 

 

 

 

 

 

 

Conclusion :

Récapitulation

Ouverture sur un autre sujet

 

Il est indéniable que la liberté représente une valeur suprême à laquelle tous les peuples aspirent et pour laquelle les hommes sont prêts à sacrifier leur vie. Certains la conçoivent comme la possibilité d’agir loin des contraintes et des obligations que les lois exigent. Ceci nous amène à nous interroger sur le sens de la liberté : est-elle un affranchissement de toute loi ? Pourrait-on dire que les lois font obstacle à la liberté ?

 

 

 

Pour beaucoup de personnes, être libre signifie que l’on peut se dégager de toutes les règles morales que la société impose et des lois que la loi établit, sous prétexte que l’obéissance à ces règles représente une forme de soumission et d’asservissement qui s’oppose au principe de la liberté. Mais en réalité, cette définition de liberté absolue et inconditionnée est fausse  car en agissant à sa guise, l’homme risque de tomber dans l’excès et de mener la société à un état d’anarchie où la loi de la jungle domine et où les hommes s’entredéchirent.

 

 

 

En ce qui me concerne, je suis intimement persuadé que la liberté ne pourrait se réaliser qu’avec le respect des obligations et des contraintes des lois.

 

En effet, même si elles paraissent contraignantes, les lois tracent les limites de chacun et précisent la marge de liberté dont chaque citoyen dispose de sorte que tout individu devient conscient et convaincu de ses droits et de ses devoirs envers les autres.

On peut citer Paul Graudy qui dit à ce propos : « Ma liberté s’arrête là où commence celle des autres. »

 

De plus, cette soumission aux lois, qui semble rabaisser l’homme et l’enchaîner, lui permet en réalité de jouir pleinement de ses droits et d’exercer concrètement sa liberté tout en le protégeant de toute autorité abusive qui pourrait le menacer. Les lois deviennent alors le seul garant de sa liberté. Ainsi, au nom de la loi, tout individu a la possibilité d’exprimer son opinion, d’exercer le métier qui lui plait, de circuler librement, de voter pour ceux qui le représentent…

 

Par ailleurs, cette soumission aux lois réglemente les rapports entre les hommes, organise la vie sociale et favorise l’ordre et la paix dans le pays étant donné que le respect des lois augmente de sens du devoir et de responsabilité chez les citoyens, développe leur degré de civisme et installe un milieu favorable à l’exercice des libertés. Il suffit de penser à certains pays démocratiques, comme l’Allemagne ou la Suisse, qui sont réputés par leur respect exemplaire aux lois et qui jouissent d’un agréable climat d’ordre et de paix.

 

 

 

Pour conclure, on pourrait dire que la liberté n’acquiert sa valeur et sa légitimité que si obéit aux exigences de la loi. Il s’agit dans ce cas d’une liberté restreinte, certes, mais elle est réelle et réaliste car elle est compatible avec celle des autres.

Toutefois, cette liberté nécessite un haut de degré de conscience et de responsabilité qui ne sont malheureusement pas très répandues de nos jours parmi tous les hommes

 

Faut-il accorder aux jeunes une liberté totale? Les parents et l'entourage ont-ils un rôle à jouer à cet égard?

 

Certains disent qu'il faut accorder une grande liberté aux jeunes; d'autres soutiennent le contraire.

 

1ère partie: Accorder plus de liberté:

 

- L'homme est né libre; c'est un droit que reconnaissent les religions, les constitutions, les différentes cultures.

- Un individu dont on limite la liberté serait semblable à un esclave.

- La liberté est une condition du bonheur de l'individu.

- La liberté permet au jeune d'être autonome et responsable.

- Priver un enfant de liberté, ou la réduire, c'est en faire un citoyen lâche et peureux

- La liberté est une condition nécessaire de la créativité.

 

2ème partie: Limiter la liberté:

 

- Il faut protéger les jeunes car ils ne sont pas assez mûrs.

- Les dangers qui menacent les jeunes sont de plus en plus nombreux.

- Une grande liberté peut conduire le jeune à s'adonner à la drogue, au tabagisme, à la prostitution...

- Parfois, on fait un mauvais usage de la liberté.

- La liberté débridée conduirait à la négligence des devoirs scolaires, familiaux, sociaux...

- Chaque société pose des limites d'ordre moral, religieux et social à la liberté de l'individu.

- Il n’y a pas de liberté absolue.

- Une grande liberté peut entraîner l'anarchie (Désordre politique dû à l'affaiblissement ou la perte de l'autorité de l'Etat) (=confusion, désordre, émeute, gâchis, pagaille, trouble)

 

3ème partie: Point de vue personnel

 

A mon avis, il est utile d'accorder une grande liberté aux jeunes. Cependant, il faut leur faire comprendre qu'il y a une différence entre la liberté et l'anarchie. Ils doivent savoir qu'il n'y a pas une liberté absolue, mais une liberté conditionnée par la religion, la loi et les valeurs éthiques de la société.

 

Conclusion

 

Les partisans et les détracteurs avancent des arguments multiples. Mais, il faut doser (équilibrer) la liberté.